a./ La 6e approche « dimensionnelle » pourrait paraître superflue. Elle a sans doute un côté bilan récapitulatif de toutes les dimensions qui se sont mises en place dans les cinq approches précédentes.
b./ Par contre, elle n’est pas de trop pour prendre plus spécialement en charge la dimension transversale soulignant qu’aucune approche n’est un univers à part des autres. C’est tout le contraire chacune est transversale à toute autre.
c./ Ainsi, l’approche dimensionnelle est immédiatement tributaire de l’approche adaptative antagoniste pour l’appréciation de sa dimension de cohérence synchronique. Celle-ci joue en effet sur la gestion plus ou moins réussie de l’antagonisme entre son unité et sa diversité. La cohérence se situant entre des extrêmes de rigidité et de souplesse.
d./ Sa mise en œuvre est plus simple à comprendre quand elle prend en compte l’étendue d’une culture dans l’espace et sa durée dans le temps. Elle est à l’évidence tributaire des résultats de l’approche géo-historique ou diachronique des espaces-temps.
e./ Comme de ceux de l’approche sectorielle des Activités instituées et de leurs dynamiques productrices des dimensionnalités multiples des religions, des politiques, des économies, des informations.
f./ De son côté, l’approche stratégique élabore des dimensions générales tendancielles d’affrontement (rapports de force, voire guerres), de ruse (diviser pour régner, gagner sans combattre), de conciliation (primat de la diplomatie), voire de soumission plus ou moins acceptée. Or elles entrent diversement dans la caractérisation spécifique des dimensions d’interactivité des cultures entre elles.