a./ Même les déficits patents que leurs manques entraînent peuvent toujours être interprétés autrement ou être évités, écartés, refoulés.
b./ C’est par exemple le cas pour les données liées aux enfants tôt séparés de toute éducation humaine qui n’accèdent plus ensuite à une vie humaine.
c./ Cela indique clairement qu’un être humain ne peut pas exister s’il n’est pas une émergence conjointe d’information naturelle (code génétique, sexualité de diversité combinatoire) et d’information culturelle humaine.
d./ Il en va de même en ce qui concerne l’ensemble humain. Du fait de sa non constitution, de son non respect, de son morcellement en oppositions radicalisées à partir de la scission entre dominants possesseurs (pléonexie) et dominés dépossédés.
e./ Ce déficit d’humanité (dans tous les sens) handicape toute l’aventure humaine et entraîne les sous-implications écologiques multiples. À savoir celles des dégâts causés par l’homme mais aussi celles des trajectoires menaçantes connues de la nature auxquelles les parades humaines pour les éviter sont insuffisamment mises en œuvre.
f./ Ce ne sont pas les antagonismes entre humains qui font problème c’est leur déficit d’intuition de l’impérieuse nécessité d’apprivoiser au mieux leurs « destructions-constructions » créatrices.
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