a./ Après l’imbroglio de l’interculturel « post, ante » qui concerne l’actualité et l’histoire et leurs liens d’évolutions, le second imbroglio concerne le fonctionnement même de la pensée selon ses trois perspectives d’ensembles et de détails.
b./ Que de polémiques confuses sans cesse entretenues entre les généralisations (on généralise trop ou pas assez), et les particularisations (on particularise trop ou pas assez).
c./ Quant au singulier, nombreux sont ceux qui le confondent avec le particulier ou l’ « étrange». Est « Singulier » l’être ou l’objet en tant que totalité articulée de caractéristiques générales et particulières.
d./ Mésuser de la relation « général, particulier singulier » empêche de vivre et penser l’infini dans son évolution créatrice et soi et les autres en lui. On est incapable d’estimer en même temps le semblable et le différend dans la nature et entre humains.
d./ Le troisième imbroglio concerne la diversité de niveaux auxquels s’effectuent les actions, passions » humaines. A chaque niveau, correspond une certaine culture qui n’a pas nécessairement les mêmes caractéristiques et surtout pas la même ampleur.
e./ Qu’il suffise de les nommer : individuel, groupal, régional, sociétal, continental, planétaire. L’interculturel habituel ne se situe le plus souvent qu’au niveau individuel ou groupal.
Quatrième imbroglio, celui des modes de la relation interhumaine. Comme le premier lié à l’opposition « post, ante », celui-ci est également une affaire de préfixe. Nous en traitons ci-après de ce « multi-trans-inter ».
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